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Le site web officiel du PROGRAMME DES BOURSES D’ÉTUDES EMPLOIS AU CANADA – PBEEC se veut d’une utilisation agréable et conviviale. Il suffit d’ouvrir les différentes rubriques proposées pour trouver toutes les informations et renseignements dont vous avez besoin.
Le PROGRAMME DES BOURSES D’ÉTUDES EMPLOIS AU CANADA, est un programme pour la promotion des bourses d’études étrangers et de l’emploi vise à aider les pays à identifier les opportunités de créations d’emplois et de revenus dans les filières locales à fort potentiel : économie numérique, économie verte et économie sociale et solidaire.
Le PROGRAMME DES BOURSES D’ÉTUDES EMPLOIS AU CANADA poursuivra ses efforts en vue d’améliorer les modèles de prestation des services dans les collectivités des Premières Nations afin de favoriser un modèle de soins de santé moderne, durable et de qualité grâce à une plus grande harmonisation des programmes et des services de soins de santé primaires et à une meilleure coordination avec les provinces et les territoires sur plan national et international.
Nous travaillerons aussi avec organisation et des partenaires des collectivités des Premières Nations et des Inuits afin d’investir dans des programmes communautaires adaptés à la culture et axés sur la santé communautaire, la prévention des maladies, la santé mentale et les services de prévention et de traitement des toxicomanies.
Le PROGRAMME DES BOURSES D’ÉTUDES EMPLOIS AU CANADA joue un rôle incontournable en termes de développement économique du secteur agricole. En tenant compte des effets d’entraînement générés par l’activité agricole, on estime que le secteur génère un PIB de près de 6 milliards de dollars et qu’il maintient plus de 70 000 emplois dans la province1.
De plus, la forte présence de l’agriculture en région entraîne des retombées économiques importantes pour ces territoires. La contribution économique du secteur agricole pourrait augmenter si les conditions nécessaires étaient réunies.
En effet, des opportunités de croissance sont entrevues autant dans les secteurs agricoles d’importance au Québec (lait, porcs, grains, volailles et bovins) que dans plusieurs autres secteurs de production agricole (ex. demande mondiale pour le sirop d’érable, importantes superficies disponibles pour la production de bleuets sauvages, proximité de marchés importants pour les produits maraîchers, hausse de la consommation de protéines animales, etc.).
L’Union des producteurs agricoles (UPA), qui milite depuis plusieurs mois afin que le gouvernement du le Québec élabore une stratégie de développement économique pour le secteur agroalimentaire, souhaite saisir cette occasion pour démontrer les retombées économiques dont pourrait profiter le Québec au cours des prochaines années si le plein potentiel de développement du secteur agricole se concrétise.
Pour atteindre cet objectif, la présente étude vise donc à : évaluer le potentiel de croissance dans les différents secteurs agricoles au cours de la prochaine décennie (2016 – 2025); identifier les conditions nécessaires pour que cette croissance se matérialise, estimer les retombées économiques qui pourraient en découler.
Au sein du PROGRAMME DES BOURSES D’ÉTUDES EMPLOIS AU CANADA la durée normale du travail pour un poste à temps plein est de 25 h par semaine, sauf dans certains domaines spécifiques — secteur agricole, par exemple :
Vous pouvez également trouver des postes à 22 h, voire 19 h par semaine. Les heures supplémentaires sont autorisées et largement répandues. Au-delà de 25 h/semaine, ces heures doivent être payées à un taux horaire majoré de 50 %.
Au Québec, le marché du travail se porte plutôt bien : en mai 2017, le niveau de l’emploi a passé la barre des 4,2 millions de postes et le chômage a atteint son plus bas niveau depuis 1976, soit 6 %, selon les données du ministère de l’Emploi, du Travail et de la solidarité sociale de Toronto. Les candidats à l’expatriation qui sont francophones et hautement qualifiés auront plus de facilité à trouver un travail à Toronto. En effet, en raison du faible taux de chômage, certaines entreprises doivent parfois faire face à une pénurie de main-d’œuvre : c’est le cas, par exemple, pour les machinistes-opérateurs et certains postes dans l’informatique tels qu’administrateur réseaux et analyste programmeur.
DG MARC BOUDREAU